django unchained
Hier sur vos écrans français, sortait enfin le dernier film de Quentin Tarantino: DJANGO UNCHAINED.
Qu’il est agréable de retrouver les talents d’un des réalisateurs les plus cools de ces dernières générations, après une trop longue période d’absence, selon moi ! Et j’sais pas vous mais j’ai personnellement quelques chouchous (acteurs, réalisateurs, scénaristes…), parmi lesquels figure Tarantino, pour plusieurs raisons.
D’abord parce que la majorité de ses films s’axent autours d’une catharsis.
Ensuite parce qu’il développe toujours des dialogues cinglants et justes.
Parce que son goût pour la photographie colle adéquatement à son propos.
Parce qu’il travaille à fond ses personnages.
Parce que même dans les scènes les plus noires, on lit toujours un soupçon d’humour.
Parce que ses bandes originales témoignent d’une culture musicale riche et passionnée.
Enfin parce qu’il reste fidèle à lui-même. Et cet argument me suffirait à supprimer tous les autres.
Un peu comme dans Inglorious Basterds, Tarantino nous dépeint la vengeance d’un parti opprimé contre la bande d’enculés, sur fond de vérité historique. Si dans le premier on serre notre haine en pleine guerre mondiale, ici c’est aux esclavagistes qu’on s’en prendrait volontiers. Bon c’est pas comme si non plus on avait besoin de lui pour avoir la haine contre eux, hein.
Fin des années 1800, on retrouve Django, un esclave parmi tant d’autres, qui par chance va se retrouver “bras droit” du Dr Shultz, mi dentiste, mi chasseur de primes, et embrassera la chance de retrouver sa femme grâce au premier, ramasseur de têtes froides.
Après les fouets et la toile de jute Django (Jamie Foxx) s’en va braver les plaines désertiques aux côtés de Shultz (Christoph Waltz) jusqu’à la plus grande plantation du Mississipi, gardée par le redouté Calvin Candie (Léonardo DiCaprio) avec qui
Source: Slogan1969